Des femmes comme …
Non, ce n’est pas un article qui met en valeur des actrices comme Catherine Deneuve ou Sophie Marceau, ni des chanteuses comme Edith Piaf ou Dalida, ni des spécialistes comme Marie Curie ou Anne-Sophie Pic. Ce n’est pas non plus le 8 mars pour célébrer Le Jour de la femme (une fête que je ne comprends pas), c’est simplement un jour normal et, après plusieurs années d’observation, j’ai pensé que le sujet de cet article pourrait s’aborder.
La définition du concept de la femme varie d’une culture à une autre, d’un pays à un autre, d’une maison à une autre mais surtout d’une femme à une autre.
Des femmes comme Noëlle mettent de côté leur force et leur détermination jusqu’au jour où tout bascule. C’est à ce moment que la bête féroce qui dort en elles, montre ses canines et attaque l’atrocité de la vie. Des femmes d’une douceur à brûler le marbre et d’un cœur à faire trembler un géant.
Des femmes comme Roula ont les pieds ancrées dans le sol. Elles surmontent les entraves et foncent sans se lamenter ou pleurnicher « car les jours sont trop longs et que le mal s’inculque de plus en plus dans leur peau ».
Des femmes comme Mélodie prouvent au monde que la jeunesse et l’optimisme alimentent les esprits créatifs ; que la bonne volonté est une question personnelle et que l’encouragement motive toujours les autres et « qu’il n’y a pas de honte à préférer le bonheur » comme le dit Camus.
Des femmes comme Cynthia ne passent pas inaperçues. Elles incarnent « les bases » qui font d’elles des Brésiliennes (bien qu’elles soient d’une autre nationalité), grâce à leur mentalité, leur mode de vie énergétique et positif, leur beauté interne et leur brin de sexisme naturel (j’en suis témoin). Ce qui les rend enviées mais jamais envieuses.
Des femmes comme Tatiana sautent d’un enfer à un autre sans jalouser celles qui vivent au paradis. Elles ont une capacité surnaturelle à accepter leur réalité et à endurer des agonies permanentes sans le crier sur les toits. Elles ont le don de l’humour et du sourire dans des situations abominables car elles croient toujours que leurs actes « servent une meilleure cause » (traduit de l’anglais to serve a better cause).
Des femmes comme Shirley sont vraiment dotées d’une force divine, (oui j’en suis sûre et certaine). Elles combattent des vagues de malheur et surfent sur la mousse noire des jours ensoleillés mais sont pleines de vie et rayonnent constamment. Comment ? Je ne sais absolument pas !
Des femmes comme Joy pensent toujours que les rêves sont précieux. Malgré toutes les années accumulées loin de l’adolescence elles ne cèdent pas et croient toujours que le prince charmant arrivera un jour (dans une Mercedes comme dans le film de Pretty Woman ou à 80 ans, pas nécessairement à cheval, mais il viendra) et que la vie sera belle.
Des femmes de mon entourage que la vie n’épargne pas, mais qui continuent à être des exemples rares dans une société consommatrice où les valeurs n’ont plus de recoin.
Des femmes idoles par rapport à ces générations qui plongent dans un labyrinthe de détresse, d’isolement et d’égoïsme.
Des femmes que vous avez maintenant la curiosité de connaître et qui valent le coup.
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